Actualité/Concert : Brindille revient sur scène avec ses incontournables : Les visiteuses du soir, Le chant des tribades, Jolie conne, jolie conne, Chanteur de cabaret, Donatien-Alphonse-François, Quelqu’un qui chante… et de nouvelles compositions : La maison qui pleure, Il était un enfant, Gourbi Palace, Mourir à la Havane, La mélodie du désamour, Bleu blanc rose, Le cafard à zéro, L’objet femme, T’es barré…
La
gestuelle théâtrale, la silhouette frêle et longiligne, Brindille chante de sa
voix rauque les textes qu’il écrit sur ses propres mélodies ou celles de
Jean-Pierre Stora ou de Georges Nawrocki. Brindille est un chanteur
réaliste-décadent. C’est un artiste, un vrai. Authentique.
Son
univers envoûtant oscille entre la pop et le cabaret. Humour acide ou
existentialisme désabusé… Brindille, ou encore La Brindille, Brindille de Paris,
comme on le surnomme aussi, n’est pas formaté, policé ; il n’obéit à
aucune règle, prend les sens interdits et il le fait savoir, il le chante, il
en rit, il s’en moque. Il est underground et sulfureux.
Brindille s’habille de noir, se maquille comme les
stars des années 30, fume beaucoup et boit de l’absinthe. C’est un personnage
étrange, inquiétant peut-être, qui trouble et fascine. Anar de l’avenue
Montaigne ou bourgeois de Ménilmontant ? Rétro, futuriste ou
intemporel ? Lilas blanc ou belladone ? Poète naufragé ou fluide glacial ?
Allez savoir… Mais surtout, allez ! Allez écouter, découvrir ou revoir
absolument Brindille !